Virginie Haushalter a écrit une Thèse de doctorat en biologie moléculaire et biochimie sur les anomalies du développement dentaire, sous la direction de Pr. Agnès Bloch-Zupan. En septembre 2017, elle a commencé à travailler en tant que post-doctorante au Laboratoire de génétique médicale de l’université de Strasbourg (UMR S_1112). Sa mission principale est l’analyse d’exomes à partir des échantillons biologiques collectés dans le cadre du projet.
Que pensez-vous du projet RARENET ?
« C’est un projet qui, notamment grâce à sa dimension transfrontalière, touche beaucoup de monde. RARENET permet la création d’un important réseau, qui peut bénéficier à tous ses partenaires. Il rend possible la coopération avec des scientifiques de domaines très différents, et donc des échanges très intéressants. Pour moi, un apport concret de ce réseau est l’apprentissage de nouvelles techniques grâce au contact avec des scientifiques qui travaillent dans d’autres disciplines. J’aime aussi beaucoup l’aspect grand public du projet: c’est une rare opportunité de sensibiliser aux maladies rares des personnes qui autrement n’y seraient pas confrontées. »